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Accueil > Actualités et normes > Rebondissement dans le dossier des inserts antiperforation non métalliques : c'est pas le pied !

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Institutionnels

Rebondissement dans le dossier des inserts antiperforation non métalliques : c'est pas le pied !

Publié le

Les normes EN ISO 20344, 20345, et 20347 concernant les chaussures de sécurité ont été révisées et publiées à la fin de l'année 2011 et au début de l'année 2012.

L'évolution la plus notable de cette révision concernait les inserts anti-perforation non métalliques, la méthode d'essai et les exigences associées applicables à ces derniers ayant été largement modifiées.

Conscients que ces changements rendaient obsolètes les chaussures certifiées sur la base des anciens référentiels, les fabricants se sont immédiatement lancés dans un important processus de mise à niveau de leurs produits tout en bénéficiant, pour le faire, d'un délai âprement négocié par le SYNAMAP et la Fédération Française de la Chaussure (FFC) avec les pouvoirs publics.

Ce processus terminé (début 2014), les industriels pouvaient souffler et retrouver l'espoir d'opérer sur un marché stabilisé leur permettant d'avoir une vision à moyen et long terme.

Mais en 2014, patatras ! L'Allemagne, qui souhaite réduire le diamètre de la pointe de perforation utilisée dans les essais (en le passant de 4,5 à 2,8 mm), engage une objection formelle contre les normes EN ISO 20344, 20345, et 20347, faisant ainsi renaître l'incertitude et la confusion sur le marché. Face à ce rebondissement étonnant, l'ensemble des acteurs (SYNAMAP, FFC, et organismes notifiés) se sont naturellement mobilisés et ont fait bloc pour contester la pertinence de la position allemande.

En dépit de cette unanimité, la situation demeure inquiétante pour les opérateurs économiques, la Commission européenne, toujours soucieuse de ménager la chèvre et le chou, étant rarement pressée de se prononcer clairement sur les objections formelles qu'elle a pourtant, en droit, le devoir de trancher.

Dans toute cette confusion surnagent cependant quelques éléments dont nous pouvons être certains.

Primo, une nouvelle méthode d'essai sera très probablement suggérée au CEN TC 161, mais ne pourra certainement pas finaliser ses travaux avant 2 ou 3 ans...

Secundo, pendant cette période, les industriels évolueront dans un marché déstabilisé.

Tertio, se posera à nouveau cette question récurrente, mais essentielle: les industriels doivent-ils pouvoir travailler sereinement à la fabrication de produits performants ou perdre leur temps dans d'incessants problèmes de certification initiés de façon quasi systématique par les pouvoirs publics ?

A suivre...

 

Article provenant du magazine REFERENCE N°54.

Auteur : SYNAMAP.

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