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Risques informatiques

Isilon simplifie radicalement le stockage

Publié le

La nouvelle gamme Scale-Out 2.0 permet de bâtir un NAS en cluster qui optimise en permanence l’emplacement des fichiers sur différents types de disques, sans pour autant compliquer leur accès.

Fournisseur surtout populaire depuis dix ans auprès des entreprises des médias et de la communication, Isilon fait évoluer ses matériels de stockage en Scale-out 2.0. Signe particulier de cette nouvelle dénomination : éliminer la répartition manuelle des données entre les différents types de baies de stockage.

Chez Isilon, il y en a trois. Le modèle Série S, dit tiers 1, à base de disques SAS ou, bientôt, SSD, offre l'accès le plus rapide. Le modèle Série X, ou tiers 2, à bases de disques Sata, garde en production un maximum de données récentes. Et le modèle Série N, ou tiers 3, archive les données sur la durée.

Des fichiers qui se déplacent sur les disques, mais pas dans les répertoires

« Dorénavant, toutes les unités de stockage sont unifiées dans un seul volume de données. Et c'est notre couche logicielle qui détermine automatiquement, selon des règles prédéfinies par l'administrateur, où stocker quels fichiers et à quel moment », explique Sam Grocott, le vice-président d'Isilon en charge du marketing. En l'occurrence, les unités de stockage décident toutes seules de faire remonter vers des disques rapides d'anciens fichiers qu'un utilisateur vient de rouvrir, ou déplacent vers des unités capacitives plus lentes les documents qui ne servent plus en production. Pour l'utilisateur, en revanche, ces documents ne bougent pas du dossier dans lequel il les avait placés.

Ces fonctions sont portées par deux nouveaux logiciels fournis avec les baies d'Isilon. En tâche de fond, Smartpools contient la logique d'unification des unités en un seul volume et s'occupe de transférer les fichiers. Présentée comme une console d'administration, InsightIQ sert à visualiser sur un diagramme chronologique les accès, la répartition des données, les pics de performances. « La surveillance de la consommation électrique n'est pas encore implémentée, mais elle fera partie des prochaines fonctions », reconnaît Sam Grocott.

En sus, le système d'exploitation OneFS des unités de stockage d'Isilon évolue en une version 6.0 apte à supporter les fonctions de Smartpools et InsightIQ. OneFS 6.0 est en en fait une version personnalisée du système libre FreeBSD 7. Par rapport aux anciennes versions de OneFS, basées sur FreeBSD 6.x, OneFS 6.0 exploite mieux les processeurs multicœurs dont sont pourvus les matériels d'Isilon, de conception Supermicro.

Un cluster de NAS

Le génie de l'offre d'Isilon tient dans sa conception en cluster. Chaque unité de stockage est un véritable NAS qui intègre tous ses disques. Et tous ces NAS sont reliés entre eux par une connexion haut débit Infiniband. Celle-ci leur sert à se répartir les données sans perturber le reste du réseau. Il n'y a pas de nœud maître, chacun communique avec les autres en peer to peer.

Du point de vue des serveurs, le cluster est un seul NAS, avec un seul gros volume partagé. Lorsqu'un serveur écrit sur le NAS en cluster, un commutateur réseau envoie la requête à tous les nœuds, lesquels se concertent pour enregistrer chacun un bout de fichier. En lecture, les nœuds renvoient en même temps les bouts de fichiers qu'ils contiennent ; ces accès parallélisés contribuent à augmenter la bande passante entre les serveurs et le NAS/cluster. Selon Isilon, cette façon de faire serait plus performante que la topologie, classique chez la concurrence, d'un seul NAS pour plusieurs baies de stockage.

On retrouve cette topologie unique dans le cluster de nœuds MySQL que propose Clustrix, dont le patron, Paul Mikesell, est aussi le fondateur d'Isilon.

Auteur : Yann Serra, 01net.

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