Aller sur la page d'accueil Aller sur la page de recherche Aller sur la page contact Aller sur la page de connexion à son compte
Aller sur le compte Facebook Aller sur le compte Linkedin Aller sur le compte twitter Aller sur le compte Vimeo
S'abonner à la lettre du risque

Lettre du risque

Produits

{{{name}}}

Services

{{{name}}}

Fabricants

{{{name}}}

Experts

{{{name}}}

Fiches pratiques

- {{{name}}}

Actualités

- {{{name}}}

Normes

- {{{name}}}

Solutions

- {{{name}}}

Accueil > Actualités et normes > Plan de prévention : à la poursuite du risque zéro ?

Croix pour fermer

Général

Plan de prévention : à la poursuite du risque zéro ?

Publié le

Les interférences d’activités de travailleurs, d’installations, de matériels… sont à l’origine de nombreux risques voire, dans certains cas, d’accidents du travail. Sachant les coûts directs et indirects d’un accident de travail, l’entreprise (et son service HSE) a intérêt à tout mettre en oeuvre pour prévenir les risques. C’est notamment le rôle du plan de prévention.

Ce document obligatoire informe les travailleurs des risques liés à la coactivité et les mesures de prévention à prendre. Il est définit par le DÉCRET du 20 février 1992 : il doit obligatoirement être formalisé si le nombre d’heures de travail est de 400 heures minimum sur 12 mois et/ou si les travaux figurent dans la liste des travaux dangereux (l’arrêté du 19 mars 1993.)

Pourtant, malgré les recommandations du code du travail, la démarche de prévention à travers le plan de prévention n’arrive pas dans tous les cas à remplir son rôle sur le terrain. En effet 15% des accidents mortels proviennent d’une entreprise extérieure (Source INRS).

Alors comment le rendre plus efficace ?
Donc comment alléger le traitement administratif du plan de prévention ?

Le plan de prévention à l’épreuve du digital

En tant qu’HSE nous sommes continuellement confrontés au défi de collecter, d’analyser, d’évaluer les risques liés à la coactivité, de s'assurer que le personnel reçoit bien et à temps, les instructions inscrites dans le plan de prévention et qu’elles soient bien respectées et appliquées. Vient s’ajouter à ce défi, l’archaïsme du papier qui augmente le risque de duplication ou de perte des informations et présente une perte de productivité.

L’efficacité de la gestion de la coactivité repose principalement sur la cohérence et le partage des données inscrites au niveau des plans de prévention. Afin d’optimiser cette gestion, la dématérialisation est une option intéressante. L’objectif est simple : centraliser les informations liées à la coactivité et à la mise en place des plans de prévention. Parmi les autres avantages, on peut citer le gain de temps dans la réalisation des plans de prévention (en capitalisant sur ceux déjà faits), une fluidité dans la mise en place des mesures, une meilleure coordination des actions. Pour aller loin, je vous invite d'aller consulter l’article complet sur le blog QHSE.

 

Réagissez en laissant votre commentaire !


Partagez sur les réseaux sociaux

Inforisque sur Facebook Inforisque sur Linkedin Inforisque sur Twitter Inforisque sur Vimeo

Les dernières actualités

Image Institutionnels

4
Octobre
2019

Institutionnels

Des pas significatifs à franchir pour réduire les impacts sanitaires des pesticides

Lire la suite
Image Institutionnels

4
Octobre
2019

Institutionnels

1er décembre 2019 : la procédure de reconnaissance des ATMP change !

Lire la suite
Image Risques pour l'Homme au travail

4
Octobre
2019

Risques pour l'Homme au travail

L’accueil sécurité en entreprise : 4 questions clés pour une intégration réussie !

Lire la suite

Les derniers produits