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Accueil > Actualités et normes > Le burnout ne sera donc pas une maladie professionnelle, mais… peut-on en rester là ?

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Institutionnels

Le burnout ne sera donc pas une maladie professionnelle, mais… peut-on en rester là ?

Publié le

Aujourd’hui, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn a dit que le burnout ne serait pas reconnu en maladie professionnelle en invoquant un rapport de la HAS…

Sauf que le rapport n’avait pas vocation à servir d’alibi pour ne pas indemniser les travailleurs et valider le statu quo. Des recommandations concrètes existent déjà ! La ministre s’en saisira-t-elle ?

Aujourd’hui, Agnès Buzyn était l’invitée du Grand Jury. Le lab Europe 1 nous résume ici un point abordé dans cette émission :

Ce mot de la ministre est vraiment le signe qu’il faut définitivement en finir avec cette qualification de burnout. On a encore là une illustration parfaite que le terme même de burnout est une espèce de boulet qui paralyse toute réflexion de fond sur les liens entre santé mentale et travail. Et nous sommes de plus en plus nombreux à porter cette voix (1). En bref, comme toute l’énergie est mobilisée pour savoir si oui ou non le burnout est ou n’est pas une vraie maladie, on passe à côté du fait que le travail a des effets, ceux-là, incontestables sur la santé mentale des travailleurs et peuvent causer des maladies qui, elles, ont des descriptions consensuelles (la dépression, les troubles anxieux, l’état de stress post-traumatique). Par ailleurs, le terme de « burnout » a pour moi un côté euphémisant, de par son caractère quasi-physiologique chez tout bon travailleur, et contribue à éloigner de notre esprit que le travail peut amener certains salariés à se suicider. C’est-à-dire à mourir de leur travail. Lire la suite de l'article...

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