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Accueil > Actualités et normes > Une nouvelle génération de véhicules urbains, plus propres et moins gourmands

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Risques pour l'environnement

Une nouvelle génération de véhicules urbains, plus propres et moins gourmands

Publié le

Le prix des énergies augmente et l’utilisation d’un véhicule individuel pèse de plus en plus lourd sur le budget des ménages et sur la qualité de l’air, en particulier dans les grandes métropoles.

Une nouvelle génération de véhicules doit être conçue pour consommer le moins d’énergie possible et veiller à un moindre impact sur la qualité de l'air que l'on respire. Les villes offrent un environnement propice pour les développer à grande échelle, en complément des transports collectifs : les trajets y sont en général de courte distance et ne nécessitent donc pas une grande autonomie électrique ; le mobilier urbain, quant à lui, facilite l’installation de bornes de recharge. Petits et légers pour la plupart, ces véhicules sont peu gourmands en électricité et facile à stationner.

Cette nouvelle génération de véhicules hybrides ou électriques pourrait représenter environ 2 millions de véhicules en 2020 pour un objectif de réduction de 17,5 millions de tonnes de CO2, objectif fixé par le Grenelle Environnement pour le secteur des transports.

L’ADEME a organisé vendredi 9 mars à Paris des tests grandeur nature de plusieurs prototypes.

La ville, un terrain particulièrement adapté au véhicule électrique ou hybride

Dans un contexte d’augmentation du prix des énergies et d’urgence à réduire les émissions de gaz à effet de serre, l’utilisation d’un véhicule individuel pèse de plus en plus lourd sur le budget des ménages et sur la qualité de l’air, en particulier dans les grandes métropoles. La nouvelle génération de véhicules décarbonés pourrait représenter environ 2 millions de véhicules à l’horizon 2020 pour atteindre l’objectif de réduction de 17,5 millions de tonnes de CO2 fixé par le Grenelle Environnement pour le secteur des transports.

Cette nouvelle génération de véhicules, qu’ils soient hybrides ou électriques, doit être conçue pour consommer le moins d’énergie possible et donc émettre le moins de CO2 possible. Les villes offrent un environnement propice pour les développer à grande échelle, en complément des transports collectifs et modes doux : les trajets y sont en général de courte distance et ne nécessitent donc pas une grande autonomie électrique ; le mobilier urbain, quant à lui, facilite l’installation de bornes de recharge. Petits et légers pour la plupart, ces véhicules sont peu gourmands en électricité et facile à stationner.

Si les véhicules individuels constituent l’un des principaux chantiers de la mobilité de demain, les transports en commun – bus, tramways et métros – sont également concernés : toute l’offre de mobilité urbaine doit être revue pour être plus efficace et cohérente.

Bouger autrement : de nouveaux services de mobilité

En complément des solutions individuelles, l’ADEME préconise le développement des services de mobilité. En effet, ces services, comme l’auto-partage notamment, permettent non seulement le déploiement à grande échelle d’une nouvelle génération de véhicules mais aussi d’améliorer de façon significative l’efficacité énergétique des trajets urbains.

Soutenir la filière automobile pour accélérer le déploiement d’un nouveau type de véhicule

Pour accompagner les professionnels de l’automobile dans cette transition et favoriser l’émergence rapide de nouvelles solutions, d’importants moyens de recherche ont été mis en place depuis 2008.

Deux appels à manifestations d’intérêt (AMI) en 2008 et 2009, dans le cadre du Fonds Démonstrateur de Recherche tout d’abord, ont ainsi permis de soutenir 18 projets de constructeurs ou d’équipementiers pour des véhicules électriques et hybrides rechargeables. Ces projets novateurs, concernant tous types de véhicules, particuliers, utilitaires, poids lourds ou encore autobus, ont bénéficié d’une aide globale de 74 millions d’euros.

La mise en place du programme des Investissements d’Avenir en 2010 a amplifié les moyens de l’ADEME afin de renforcer ce soutien sur la mobilité et les transports de demain. Ainsi, entre début 2011 et début 2012, 11 AMI1 ont été lancés au sein du programme « Véhicule du Futur » et bénéficient d’une enveloppe de crédits de 950 millions d’euros. À l’issue de ces AMI, l’ADEME soumet une sélection de projets à la validation des services du Premier ministre, du ministère du Développement durable, du ministère de l’Industrie et du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Elle accompagne ainsi les lauréats dans la concrétisation de leur projet d’innovation jusqu’à la phase de pré-industrialisation.
Les AMI « véhicules décarbonés » et « expérimentations liées aux infrastructures de recharge VE-VHR » ont déjà permis de soutenir 8 projets pour une aide globale de 41,3 millions d’euros.

Le véhicule décarboné, une solution d’avenir effective dès aujourd’hui

Ces différents programmes de recherche ont d’ores et déjà eu des impacts positifs sur l’écosystème automobile. Ainsi de petites entreprises se positionnent désormais sur ce marché des véhicules urbains, profitant du levier de croissance qu’est la performance environnementale. D’autre part, équipementiers et constructeurs se rapprochent et ces partenariats permettent de voir se concrétiser plusieurs projets, aujourd’hui prêts à être déployés à échelle industrielle.

Les projets Forewheel (Michelin, CEA, MIA Electric, Orange), VELROUE (Renault, IFP, Michelin), LIM (Boxer Design, Peugeot Scooters, SAFT Batteries), VéLV (PSA Peugeot Citroën, Valéo, Leoni, Johnson Control-SAFT, Michelin, Leroy Somer, GKN, IMS-Bordeaux), Quat’ode (Véléance, bureau d’études Car&D), S’PLR (XOR Motors, NAOS M2M, DRIVEMOTION), présentés le 9 mars 2012 en sont des illustrations.

Voir les projets lauréats par programme.

Auteur : ADEME.

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