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Accueil > Actualités et normes > Arrêts maladie : « L’envolée est nette dans le public »

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Institutionnels

Arrêts maladie : « L’envolée est nette dans le public »

Publié le

Selon Jean-Claude Delgenes, dans le privé et « les grandes sociétés, les indemnités journalières progressent avec la crise, les plans sociaux, l’angoisse, les réorganisations... ».

Jean-Claude Delgenes est le directeur général du cabinet Technologia spécialisé dans les risques professionnels. Il est notamment intervenu chez Renault et France Télécom.

S’attaquer aux indemnisations des arrêts maladie est-ce une bonne idée ?

JEAN-CLAUDE DELGENES. Il s’agit avant tout d’une mesure financière pour emplir les caisses de l’Etat. Mais ne prenons pas le prétexte des « fraudes » pour cela : les abus ont toujours existé mais ils sont stables aux alentours de 5%. Un type d’arrêt, méconnu, est de plus en plus fréquent : certains salariés s’arrêtent, pour pouvoir s’occuper d’un proche malade (père ou mère vieillissant notamment).

Globalement, les arrêts maladie ont-ils progressé ?

En dépit de la grande difficulté à obtenir des chiffres fiables et récents, notamment pour la fonction publique d’Etat, ils ont progressé quasiment partout, sauf dans les PME. Dans le secteur public, collectivités locales et hôpitaux en tête, l’envolée est nette. Dans certains services, le taux d’absentéisme est tel qu’il devient le problème numéro un.

Comment expliquer cette forte hausse ?

Dans le public, les gens ont la garantie de l’emploi, mais restent parfois bloqués longtemps au même poste. S’ils ne bougent pas, et que l’ambiance est très dégradée, les arrêts maladie servent de « sas de décompression ». Plus important : aux urgences des hôpitaux, à Pôle emploi, dans les services sociaux des mairies, et plus encore dans la police, les agents qui accueillent le public sont confrontés à une véritable violence. Impuissants à soulager cette souffrance, ils craquent. Lire la suite de l'article...

Auteur : JEAN-BAPTISTE QUENTIN, Le Parisien.

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