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Accueil > Actualités et normes > REACH peine à être opérationnel

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Risques pour l'environnement

REACH peine à être opérationnel

Publié le

Le règlement REACH, qui garantit le contrôle de 30 000 substances chimiques, oblige les industriels qui les produisent à les enregistrer. Après quatre années d'application, le système affiche un bilan mitigé.

REACH implique que toutes les entreprises qui fabriquent, utilisent ou importent des substances chimiques doivent évaluer elles-mêmes la toxicité de ces substances, pour les enregistrer auprès d'une agence indépendante, l’ECHA (Agence européenne des produits chimiques) basée à Helsinki. Les substances les plus dangereuses peuvent être interdites par cette agence. Objectif : inciter les entreprises à trouver des produits de substitution plus sûrs pour la santé et l'environnement.

Le 23 juin dernier, un colloque co-organisé par la chaire de Développement Durable de l’Institut des Sciences Politiques de Paris et l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire alimentation, environnement, travail) s’est tenu à Paris sur les « politiques de régulation des produits chimiques » émanant de REACH. Bilan : le dispositif peine à être opérationnel et souffre d’une certaine lourdeur administrative… Mais il fait pourtant des émules dans d’autres pays, comme la Suisse et la Turquie, et probablement bientôt la Russie.

Entre lobbying et bataille rangée

Malgré toutes les bonnes volontés, REACH continue de ressembler à « une bataille rangée entre une coalition industrielle et une coalition verte » selon les mots d’Olivier Fuchs, chercheur associé au CDES de l’Université Robert Schuman à Strasbourg. Du côté des industriels, Philippe Prudhon, représentant de l’Union des Industries Chimiques, a rappelé que l’échéance de 2010 pour l’enregistrement des substances avait tout de même pu être tenue. « En partie seulement », n’ont pas manqué de souligner les représentants des ONG : la première phase d’enregistrement a certes été réalisée pour les substances produites à raison de plus de 1000 tonnes/an, soit plus de 4000 substances enregistrées (pour plus de 20 000 dossiers dûment complétés). Lire la suite de l'article...

Auteur : Clara Delpas, Novethic.

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