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Accueil > Actualités et normes > L’industrie française du photovoltaïque, quel avenir ?

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Risques pour l'environnement

L’industrie française du photovoltaïque, quel avenir ?

Publié le

L’industrie française du photovoltaïque est encore très jeune mais déjà menacée.

En juin 2009, dans la mouvance du Grenelle de l’environnement, Nicolas  Sarkozy monte en 1ère ligne pour
encourager l’émergence industrielle de cette filière : « Je veux que vous me construisiez une filière industrielle créatrice d’emplois pérennes, la France investira 1 euro de R & D en PV pour un Euro investi en nucléaire. » Pour lancer cette dynamique l’Etat met en place un système de financement très favorable, via la CSPE.

Très en retard sur l’industrie allemande, et en deçà de l’impressionnante  progression des Chinois, en moins de deux ans la France connait un véritable essor industriel ; une nouvelle filière émerge, plusieurs centaines de millions d’euros sont investis, des milliers d’emplois sont créés. Les enjeux visés, compétitivité et innovation, ne se gagnent pas en quelques mois, mais la France capitalise une dynamique répartie sur l’ensemble des territoires et sur l’ensemble de la filière. Sur le terrain, les produits français sont encore en minorité tant la croissance est rapide, dopée par des tarifs « hallucinants ». Mais pourquoi avoir maintenu « les meilleurs tarifs du monde » alors que les coûts d’investissements des générateurs photovoltaïques avaient déjà très fortement baissé ?  En milieu d’année 2010 le constat est fait : la croissance n’est pas maîtrisée et va coûter très cher ; l’importation de modules et autres composants met à mal la balance commerciale et les effets d’aubaines sont nombreux. Après un moratoire de trois mois, le gouvernement Fillon ne corrige pas les dysfonctionnements mais impose de nouvelles conditions, telles que la filière industrielle est désormais condamnée. Ce constat est affligeant pour tous les acteurs et tout particulièrement pour ceux qui ont bien fait leur travail ; industriels qui ont fortement investi, installateurs qui ont embauché, développeurs qui ont acquis des compétences.

" Les nouvelles conditions sont autant de prétextes
pour faire l’inverse de ce que le gouvernement dit vouloir faire "

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Auteur : Bruno CASSIN, Président de Sillia Energie, Membre de l’AIPF sur Pro-Environnement

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